Alors des nouvelles… depuis la dernière fois…

L’envie d’écrire s’était un peu atténuée. Ou plus tôt j’avais canalisé cette énergie sur un tout autre projet : un projet de bouquin…

L’histoire… bah peu importe, du moins pour celle du livre. L’histoire du projet ? Un éditeur a sollicité une amie pour un livre. N’ayant pas le temps de le faire, je lui ai proposé de lui filler gracieusement un certain nombre de pages déjà écrites (depuis 2004 !!! ouille !). Ce qui la dérangeait un peu déontologiquement… Pas envie que je devienne son nègre... Nous avons finalement décidé de présenter un projet à quatre mains… de la chicklit’, qu’il voulait le monsieur… La chicklit’, c’est ma deuxième nature ! « Lol » !! Nous avons donc élaboré (pour pas dire pondu – lol et re-lol !!!) (hahaha !!!) (bref !) une trame assez détaillée, et écrit les trois ou quatre premiers chapitres, fortement basés sur mon existant. Puis soumis le tout à l’éditeur… Réponse mitigée, pas vraiment non, mais un accord juste poli de faire lire notre roman de fille à une de ses collègues « spécialiste dans ce genre qui a eu connu son heure de gloire… » Pour ma part, j’ai traduit : « vous avez écrit de la merde… ca a eu marché par le passé, mais cette litérature de bas étage n’est plus forcément dans la ligné éditoriale de la maison… » Bref ! Inspiration coupée pour ma part…

Fin du chapitre romancière…

Chapitre suivant :

Explication de texte avec ma belle famille. Suite au refus de leur part de nous recevoir les enfants et moi quelques jours pendant les vacances de février. Et ce, paradoxalement, alors qu’ils nous réclamaient de les voir plus souvent… Mésentente. Comprendre « plus souvent » ne veut pas dire « plus longtemps »…  Bref ! Perte d’énergie ridicule. Finalement, j’ai pris mes petits et ai décidé d’ouvrir la maison familiale d’Auvergne malgré l’absence de mes parents et la rigueur de la météo. Finalement, donc, on s’est éclatés, profité pour monter à la petite station de ski à 30 kilomètres, fait de la luge et même du ski dès que la météo annonçait grand beau temps. De très bonnes vacances en fait, bien meilleures que celles que nous aurions passé chez mes beaux parents…

Last but not least, les vacances nous ayant couté un peu (beaucoup) plus que prévu, les comptes flirtant avec le rouge, je cherche un boulot… Non, ne vous étouffez pas de rire, reprenez donc votre souffle ! Je cherche un boulot à temps partiel… Oui, quand même ! Je ne suis pas encore prête à lâcher mes enfants. Et surtout, qui les emmènera faire leurs activités le mercredi ? J’ai donc mis sans conviction mon CV sur internet. Et afin d’affronter gaillardement l’employeur potentiel (et compréhensif de mes obligation familiales ainsi que de mes impératifs de vacances…) je viens de me délester de quelques centimètres de cheveux, ainsi que de quelques centaines d’euros dans l’achat de quelques vêtement plus appropriés à ma nouvelle future vie de femme active. (Même en l’écrivant, je trouve ca complètement surréaliste !) (utopiste) (hallucinant) (à des années lumières de ce que je souhaite au plus profond de moi) (bref, n’importe quoi ! si ce n’est que j’aime ma nouvelle coupe, mon nouveau sac, mon nouveau trench… ) Arrrrgggh !